examan la plenet des singe..............تتمة
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examan la plenet des singe..............تتمة
Chapitre XIII, devoir par Mme Dounia Oussaidi
Section sciences experimentales
Classe 1ère AS
Je m'aperçus, des Ie lendemain matin, que cet espoir n'était pas vain. J'étais éveillé depuis une heure. La plupart de mes compagnons tournaient sans arrêt dans leur cage, à la manière de certains animaux captifs. Quand je réalisai que je faisais comme eux, depuis déjà un long moment et a mon insu, Yen con~s du dépit et me for~i a m'asseoir devant la grille, en prenant une attitude aussi humaine, aussi pensive que possible. C'est alors que la porte du couloir fut poussée et que je vis entrer un nouveau personnage, accompagne par les deux gardiens. C'était un chimpanzé femelle, et je compris qu'elle occupait un poste important dans I'établissement, a la façon dont les gorilles s'effaçaient devant elle.
Ceux-ci lui avaient certainement fait un rapport sur mon compte car, des son entrée, la guenon posa une question it. l'un d'eux, qui tendit Ie doigt dans ma direction. Alors, elle se dirigea directement vers ma cage.
Je l'observai avec attention tandis qu'elle s'approchait. Elle était vêtue, elle aussi, d'une blouse blanche, de coupe plus élégante que celle des gorilles, serrée à la taille par une ceinture, et dont les manches courtes révélaient deux longs bras agiles. Ce qui me frappa surtout en elle, ce fut son regard, remarquablement vif et intelligent. J'en augurai du bien pour nos futures relations. Elle me parut très jeune, malgré les rides de sa condition simienne qui encadraient son museau blanc. Elle tenait it. la main une serviette de cuir.
Elle s'arrêta devant ma cage et commença à m'examiner, tout en sortant un cahier de sa serviette.
« Bonjour, madame », dis-je en m'inclinant.
J'avais parle de ma voix la plus douce. La face de la guenon exprima une intense surprise, mais elle conserva son sérieux, imposant même silence, d'un geste autoritaire, aux gorilles qui recommençaient à ricaner.
« Madame ou mademoiselle, continuai-je encourage, je regrette de vous être présenté dans de telles conditions et dans ce costume. Croyez bien que je n'ai pas l'habitude … »
Je disais encore n'importe quelles bêtises, cherchant seulement des paroles en harmonie avec Ie ton civil auquel j'avais décidé de me tenir. Quand je me tus, ponctuant mon discours par Ie plus aimable des sourires, son étonnement se changea en stupeur. Ses yeux clignotèrent plusieurs fois et les rides de son front se plissèrent. Il est évident qu'elle cherchait avec passion la solution difficile d'un problème. Elle me sourit it. son tour et j'eus l'intuition qu'elle commençait à soupçonner une partie de la vérité.
Pendant cette scène, les hommes des cages nous observaient sans manifester cette fois la hargne que Ie son de ma voix provoquait chez eux. Us donnaient des signes de curiosité. L'un après l'autre, ils cessèrent leur ronde fébrile pour venir coller leur visage contre les barreaux, afin de mieux nous voir. Seule, Nova paraissait furieuse et s'agitait sans cesse.
La guenon sortit un stylo de sa poche et écrivit plusieurs lignes dans son cahier. Puis, relevant la tête et rencontrant encore mon regard anxieux, elle sourit de nouveau. Ceci m'encouragea à faire une autre avance amicale. Je tendis un bras vers elle à travers la grille, la main ouverte. Les gorilles sursautèrent et eurent un mouvement pour s'interposer. Mais la guenon, dont le premier réflexe avait été tout de même de reculer, se reprit, les arrêta d'un mot et, sans cesser de me fixer, avança elle aussi son bras velu, un peu tremblant, vers le mien. Je ne bougeai pas. Elle s'approcha encore et posa sa main aux doigts démesurés sur mon poignet. Je la sentis frémir à ce contact. Je m'appliquai à ne faire aucun mouvement qui pût l'effrayer. Elle me tapota la main, me caressa ·le bras, puis se tourna vers ses assistants d'un air triomphant.
J'étais haletant d'espoir, de plus en plus convaincu qu'elle commençait à reconnaître ma noble essence. Quand elle parla impérieusement à l'un des gorilles, j'eus la folie d'espérer que ma cage allait être ouverte, avec des excuses. Hélas! il n'était pas question de cela! Le gardien fouilla dans sa poche et en sortit un petit objet blanc, qu'il tendit à sa patronne. Celle-ci me le mit elle-même dans la main avec un charmant sourire. C'était un morceau de sucre.
Un morceau de sucre! Je tombais de si haut, je me sentis d'un coup si découragé devant l'humiliation de cette récompense que je faillis le lui jeter à la face. Je me rappelai juste à temps mes bonnes résolutions et me contraignis à rester calme. Je pris le sucre, m'inclinai et le croquai d'un air aussi intelligent que possible.
Tel fut mon premier contact avec Zira. Zira était le nom de la guenon, comme je l'appris bientôt. Elle était le chef de service où j'avais été amené. Malgré ma déception finale, ses façons me donnaient beaucoup
d'espoir et j'avais l'intuition que je parviendrais à entrer en communication avec elle. Elle eut une longue conversation avec les gardiens et il me sembla qu'elle leur donnait des instructions à mon sujet. Ensuite, elle continua sa tournée, inspectant les autres occupants des cages.
Elle examinait avec attention chacun des nouveaux venus et prenait quelques notes, plus succinctes que pour moi. Jamais elle ne se risqua à toucher l'un d'eux. Si elle l'avait fait, je crois que j'aurais été jaloux. Je commençais à ressentir l'orgueil d'être le sujet exceptionnel qui, seul, mérite un traitement privilégié. Quand je la vis s'arrêter devant les enfants et leur lancer, à eux aussi. des morceaux de sucre, j'en éprouvai un violent dépit; un dépit au moins égal à celui de Nova qui, après avoir montré les dents à la guenon, s'était couchée, de rage, au fond de sa cage et me tournait le dos.
Pierre boulle. La planète des singes.
Questions:
1.Situez l’extrait par rapport à l’œuvre.
2.Qui vient rendre visite à Ulysse Mérou dans sa cage ?
3.Pourquoi le narrateur se montre immédiatement sensible à la position hiérarchique de Zira ?
4.Zira a-t-elle eu la même attitude que Mérou ? Justifiez votre réponse par quatre indices du texte montrant la réaction de chacun.
Réaction de Zira Réaction de Mérou
- ………………………………………………..- ………………………………………………… - ……………………………………….- …………………………………………
5.Zira est décrite comme un humain, repérez trois indices qui le montrent.
6.Pourquoi Mérou cherche –t-il à se faire remarquer ? justifiez votre réponse.
7.Pour qui passe-t-il aux yeux de Zira ?
8.Est ce que les éfforts de Mérou étaient compris ?
9.Quel est l’effet crée par cette scène ? Commentez.
10.En quoi cette rencontre est déterminante ?
11.Quelle est la signification de la rage de Nova?
12.Que cherche -t-on à critiquer à travers cette inversion des rôles homme/singe, à Soror ?
13. La Planète des singes est un roman de science fiction qui mêle aventures, réflexion philosophique et critique sociale. Comment ?
CHAPITRE V (3ème partie):, par Mme Fatiha KERZAZI.
Texte
Le mois qui suivit mon retour, je le passai dans mon lit, en proie à un mal contracté probablement sur le lieu des fouilles et qui se traduisit par de violents accès de fièvre, semblables à ceux du paludisme. Je ne souffrais pas, mais j'avais l'esprit en feu, retournant sans cesse dans ma tête les éléments de l'effarante vérité que j'avais entrevue. Il ne faisait plus de doute pour moi qu'une ère humaine avait précédé l'âge simien sur la planète Soror et cette conviction me plongeait dans une curieuse griserie.
A bien réfléchir, pourtant, je ne sais si je dois m'enorgueillir de cette découverte ou bien en être profondément humilié. Mon amour-propre constate avec satisfaction que les singes n'ont rien inventé, qu'ils ont été de simples imitateurs. Mon humiliation tient au fait qu'une civilisation humaine ait pu être si aisément assimilée par des singes.
Comment cela a-t-il pu se produire? Mon délire tourne sans fin autour de ce problème. Certes, nous autres, civilisations, nous savons depuis longtemps que nous sommes mortelles, mais une disparition aussi totale accable l'esprit. Choc brutal? Cataclysme? Ou bien lente dégradation des uns et ascension progressive des autres? Je penche pour cette dernière hypothèse et je découvre des indices extrêmement suggestifs au sujet de cette évolution, dans la condition et dans les préoccupations actuelles des singes.
Pierre Boule, La planète des singes, chapv, 3ème partie
Compréhension et langue:
1) Situez le passage dans l'œuvre. Citez le mot ou groupe de mots qui vous a aidé à situer ce passage.
2) Quel est le type de ce texte. Justifiez.
3) " Le mois qui suivit mon retour" De quel retour, le narrateur parle-t-il?
Il vient de faire une grande découverte, laquelle? Où réside son importance?
4) Le narrateur éprouve deux sentiments contradictoires, lesquels? Pourquoi?
5) dans le dernier paragraphe, le narrateur formule plusieurs questions. Qui est son destinataire. Attend-il des réponses?
6) Quelle est donc la valeur de ces questions?
7) Laquelle de ces hypothèses privilégie-t-il? Justifiez votre réponse.
Mérou connaît désormais le mystère des origines de la civilisation simienne. Cette connaissance constitue-t-elle un danger ? Pour qui? Pourquoi?
9) Que représentent les mots en gras dans l'énoncé suivant:
" Ou bien lente dégradation des uns et ascension progressive des autres"
10) Relevez du texte une hyperbole.
تحياتي
[b]salman khan
Section sciences experimentales
Classe 1ère AS
Je m'aperçus, des Ie lendemain matin, que cet espoir n'était pas vain. J'étais éveillé depuis une heure. La plupart de mes compagnons tournaient sans arrêt dans leur cage, à la manière de certains animaux captifs. Quand je réalisai que je faisais comme eux, depuis déjà un long moment et a mon insu, Yen con~s du dépit et me for~i a m'asseoir devant la grille, en prenant une attitude aussi humaine, aussi pensive que possible. C'est alors que la porte du couloir fut poussée et que je vis entrer un nouveau personnage, accompagne par les deux gardiens. C'était un chimpanzé femelle, et je compris qu'elle occupait un poste important dans I'établissement, a la façon dont les gorilles s'effaçaient devant elle.
Ceux-ci lui avaient certainement fait un rapport sur mon compte car, des son entrée, la guenon posa une question it. l'un d'eux, qui tendit Ie doigt dans ma direction. Alors, elle se dirigea directement vers ma cage.
Je l'observai avec attention tandis qu'elle s'approchait. Elle était vêtue, elle aussi, d'une blouse blanche, de coupe plus élégante que celle des gorilles, serrée à la taille par une ceinture, et dont les manches courtes révélaient deux longs bras agiles. Ce qui me frappa surtout en elle, ce fut son regard, remarquablement vif et intelligent. J'en augurai du bien pour nos futures relations. Elle me parut très jeune, malgré les rides de sa condition simienne qui encadraient son museau blanc. Elle tenait it. la main une serviette de cuir.
Elle s'arrêta devant ma cage et commença à m'examiner, tout en sortant un cahier de sa serviette.
« Bonjour, madame », dis-je en m'inclinant.
J'avais parle de ma voix la plus douce. La face de la guenon exprima une intense surprise, mais elle conserva son sérieux, imposant même silence, d'un geste autoritaire, aux gorilles qui recommençaient à ricaner.
« Madame ou mademoiselle, continuai-je encourage, je regrette de vous être présenté dans de telles conditions et dans ce costume. Croyez bien que je n'ai pas l'habitude … »
Je disais encore n'importe quelles bêtises, cherchant seulement des paroles en harmonie avec Ie ton civil auquel j'avais décidé de me tenir. Quand je me tus, ponctuant mon discours par Ie plus aimable des sourires, son étonnement se changea en stupeur. Ses yeux clignotèrent plusieurs fois et les rides de son front se plissèrent. Il est évident qu'elle cherchait avec passion la solution difficile d'un problème. Elle me sourit it. son tour et j'eus l'intuition qu'elle commençait à soupçonner une partie de la vérité.
Pendant cette scène, les hommes des cages nous observaient sans manifester cette fois la hargne que Ie son de ma voix provoquait chez eux. Us donnaient des signes de curiosité. L'un après l'autre, ils cessèrent leur ronde fébrile pour venir coller leur visage contre les barreaux, afin de mieux nous voir. Seule, Nova paraissait furieuse et s'agitait sans cesse.
La guenon sortit un stylo de sa poche et écrivit plusieurs lignes dans son cahier. Puis, relevant la tête et rencontrant encore mon regard anxieux, elle sourit de nouveau. Ceci m'encouragea à faire une autre avance amicale. Je tendis un bras vers elle à travers la grille, la main ouverte. Les gorilles sursautèrent et eurent un mouvement pour s'interposer. Mais la guenon, dont le premier réflexe avait été tout de même de reculer, se reprit, les arrêta d'un mot et, sans cesser de me fixer, avança elle aussi son bras velu, un peu tremblant, vers le mien. Je ne bougeai pas. Elle s'approcha encore et posa sa main aux doigts démesurés sur mon poignet. Je la sentis frémir à ce contact. Je m'appliquai à ne faire aucun mouvement qui pût l'effrayer. Elle me tapota la main, me caressa ·le bras, puis se tourna vers ses assistants d'un air triomphant.
J'étais haletant d'espoir, de plus en plus convaincu qu'elle commençait à reconnaître ma noble essence. Quand elle parla impérieusement à l'un des gorilles, j'eus la folie d'espérer que ma cage allait être ouverte, avec des excuses. Hélas! il n'était pas question de cela! Le gardien fouilla dans sa poche et en sortit un petit objet blanc, qu'il tendit à sa patronne. Celle-ci me le mit elle-même dans la main avec un charmant sourire. C'était un morceau de sucre.
Un morceau de sucre! Je tombais de si haut, je me sentis d'un coup si découragé devant l'humiliation de cette récompense que je faillis le lui jeter à la face. Je me rappelai juste à temps mes bonnes résolutions et me contraignis à rester calme. Je pris le sucre, m'inclinai et le croquai d'un air aussi intelligent que possible.
Tel fut mon premier contact avec Zira. Zira était le nom de la guenon, comme je l'appris bientôt. Elle était le chef de service où j'avais été amené. Malgré ma déception finale, ses façons me donnaient beaucoup
d'espoir et j'avais l'intuition que je parviendrais à entrer en communication avec elle. Elle eut une longue conversation avec les gardiens et il me sembla qu'elle leur donnait des instructions à mon sujet. Ensuite, elle continua sa tournée, inspectant les autres occupants des cages.
Elle examinait avec attention chacun des nouveaux venus et prenait quelques notes, plus succinctes que pour moi. Jamais elle ne se risqua à toucher l'un d'eux. Si elle l'avait fait, je crois que j'aurais été jaloux. Je commençais à ressentir l'orgueil d'être le sujet exceptionnel qui, seul, mérite un traitement privilégié. Quand je la vis s'arrêter devant les enfants et leur lancer, à eux aussi. des morceaux de sucre, j'en éprouvai un violent dépit; un dépit au moins égal à celui de Nova qui, après avoir montré les dents à la guenon, s'était couchée, de rage, au fond de sa cage et me tournait le dos.
Pierre boulle. La planète des singes.
Questions:
1.Situez l’extrait par rapport à l’œuvre.
2.Qui vient rendre visite à Ulysse Mérou dans sa cage ?
3.Pourquoi le narrateur se montre immédiatement sensible à la position hiérarchique de Zira ?
4.Zira a-t-elle eu la même attitude que Mérou ? Justifiez votre réponse par quatre indices du texte montrant la réaction de chacun.
Réaction de Zira Réaction de Mérou
- ………………………………………………..- ………………………………………………… - ……………………………………….- …………………………………………
5.Zira est décrite comme un humain, repérez trois indices qui le montrent.
6.Pourquoi Mérou cherche –t-il à se faire remarquer ? justifiez votre réponse.
7.Pour qui passe-t-il aux yeux de Zira ?
8.Est ce que les éfforts de Mérou étaient compris ?
9.Quel est l’effet crée par cette scène ? Commentez.
10.En quoi cette rencontre est déterminante ?
11.Quelle est la signification de la rage de Nova?
12.Que cherche -t-on à critiquer à travers cette inversion des rôles homme/singe, à Soror ?
13. La Planète des singes est un roman de science fiction qui mêle aventures, réflexion philosophique et critique sociale. Comment ?
CHAPITRE V (3ème partie):, par Mme Fatiha KERZAZI.
Texte
Le mois qui suivit mon retour, je le passai dans mon lit, en proie à un mal contracté probablement sur le lieu des fouilles et qui se traduisit par de violents accès de fièvre, semblables à ceux du paludisme. Je ne souffrais pas, mais j'avais l'esprit en feu, retournant sans cesse dans ma tête les éléments de l'effarante vérité que j'avais entrevue. Il ne faisait plus de doute pour moi qu'une ère humaine avait précédé l'âge simien sur la planète Soror et cette conviction me plongeait dans une curieuse griserie.
A bien réfléchir, pourtant, je ne sais si je dois m'enorgueillir de cette découverte ou bien en être profondément humilié. Mon amour-propre constate avec satisfaction que les singes n'ont rien inventé, qu'ils ont été de simples imitateurs. Mon humiliation tient au fait qu'une civilisation humaine ait pu être si aisément assimilée par des singes.
Comment cela a-t-il pu se produire? Mon délire tourne sans fin autour de ce problème. Certes, nous autres, civilisations, nous savons depuis longtemps que nous sommes mortelles, mais une disparition aussi totale accable l'esprit. Choc brutal? Cataclysme? Ou bien lente dégradation des uns et ascension progressive des autres? Je penche pour cette dernière hypothèse et je découvre des indices extrêmement suggestifs au sujet de cette évolution, dans la condition et dans les préoccupations actuelles des singes.
Pierre Boule, La planète des singes, chapv, 3ème partie
Compréhension et langue:
1) Situez le passage dans l'œuvre. Citez le mot ou groupe de mots qui vous a aidé à situer ce passage.
2) Quel est le type de ce texte. Justifiez.
3) " Le mois qui suivit mon retour" De quel retour, le narrateur parle-t-il?
Il vient de faire une grande découverte, laquelle? Où réside son importance?
4) Le narrateur éprouve deux sentiments contradictoires, lesquels? Pourquoi?
5) dans le dernier paragraphe, le narrateur formule plusieurs questions. Qui est son destinataire. Attend-il des réponses?
6) Quelle est donc la valeur de ces questions?
7) Laquelle de ces hypothèses privilégie-t-il? Justifiez votre réponse.
Mérou connaît désormais le mystère des origines de la civilisation simienne. Cette connaissance constitue-t-elle un danger ? Pour qui? Pourquoi?
9) Que représentent les mots en gras dans l'énoncé suivant:
" Ou bien lente dégradation des uns et ascension progressive des autres"
10) Relevez du texte une hyperbole.
تحياتي
[b]salman khan
salman_khan_zah_igli- الحضور المميز
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عدد الرسائل : 119
تاريخ الميلاد : 15/02/1992
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قطرة ندى- عضوة إدارية
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الدولة : maroc
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احترام قوانين المنتدى :
houria200- شكر و تقدير
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عدد الرسائل : 1189
تاريخ الميلاد : 03/11/1992
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الدولة : maroc
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